Qu'est-ce que l'IESMP?

Afin de pouvoir vous expliquer plus clairement ce qu'est l'IESMP, je met la publicité créée par les administrateurs à votre disposition. Bonne lecture!!!

L’IESMP : L’Institut d’Etudes Supérieures Magiques de Paris

Qu'est-ce que l'IESMP? Bannireiesmpwebanime21ag

Vous est-il déjà arrivé de vous demander ce que font les jeunes gens tout juste sortis des écoles nationales de magie de premier degré comme Poudlard ou Beauxbâtons ?

Ils intégrent l'IESMP. Surtout s'ils ont encore soif d'apprendre...!!!
Cette école européenne les mène vers une spécialisation approfondie en magie, dans une ambiance chaleureuse et multi-culturelle.

L'étrange directrice de cette école de magie de second dégré, Eléanore Desomeubaie, sera 'ravie' d'accueillir de nouveaux élèves... Alors, n'hésitez pas... Entrez!!!
(Pour finir, hésitez quand même un peu... car elle est vraiment étrange cette directrice!!...)

Sur le mensuel 'Sorciers Européens' de mai 2006, il y a écrit:: Si vous vous promenez dans les rues de Paris, peut-être aurez-vous la chance de croiser ce magnifique bâtiment, rue de la rose noire, à Paris. Vous ne l’aviez sûrement pas remarqué avant, mais depuis que cet ancien complexe appartenant au ministère de la magie français a été rénové dans le but d’accueillir l’Institut d’Etudes Supérieures Magiques de Paris, vous ne pourrez plus l’ignorer. Oui, cette façade blanche est le quartier général d’une école assez particulière. Entretien avec sa directrice, Eléanore Desomeubaie.

Sorciers européens : Eléanore Desomeubaie, bonjour. Nous vous connaissions pour vos prises de paroles sur la scène politique française et pour votre rôle, depuis deux ans, de représentante française au CEM, le Comité Européen à la Magie. Comment vous êtes-vous retrouvée ici ?

Eléanore Desomeubaie (d’une voix monotone, précédée d’un sourire énigmatique, habitude de la jeune femme cadavérique, que l’on a surnommée « La femme fantôme » dans les cercles politiques) : Bonjour. Merci de m’avoir contactée pour cette interview. J’avoue que je trouve cela un peu tard, étant donné que l’IESMP a ouvert ses portes en décembre… Mais je remarque enfin que l’institut intéresse quelques personnes. Pour répondre à votre question, je vais tenter de vous expliquer comment a été créée l’école que je dirige. Vous n’êtes pas sans savoir qu’il existe depuis 1997 une organisation dépendante du CEM, le CME2 ou Commission Magique Européenne pour l'Education. C’est au sein de cette organisation qu’a été exposée en 2000 l’idée d’un institut d’études européen qui prendrait en charge les jeunes sorciers volontaires sortis des écoles nationales telles Poudlard ou Beauxbâtons, dans le but d’approfondir leurs connaissances dans certains domaines magiques. Dès 2004, on m’a pressentie pour diriger cet institut. Il se trouve simplement que j’ai accepté.

S.E. : Quelle a été l’évolution de votre école depuis son ouverture ?
E.D. : Les débuts ne sont pas faciles. Nous avons acquis un effectif de 5 élèves et 3 professeurs depuis décembre. Cependant, j’ose croire que l’inauguration prochaine de l’IESMP et les examens dans certaines écoles nationales vont favoriser un certain développement de l’école. J’ajoute que nous recherchons activement des professeurs maîtrisant la langue française, puisque c’est la langue officielle du CEM que nous parlons au sein de l’école.

S.E. : Quels sont vos projets pour l’avenir de l’école que vous dirigez ?
E.D. : Pour le moment, je souhaite pouvoir diriger une école qui marche normalement. C’est pourquoi j’en appelle aux différents directeurs d’écoles nationales pour qu’ils informent plus amplement leurs élèves quant à l’existence de l’IESMP. Ensuite, je cherche dès maintenant à donner à l’institut une image de marque : avoir les diplômes de l’IESMP doit devenir un gage de qualité, un garantie de connaissances élevées dans les différents domaines de la magie. Enfin, je veux apporter aux élèves une éducation magique et citoyenne utile pour leur avenir, ce pourquoi on m’a choisie.

S.E. : Quels sont vos propres projets ?
E.D. : Pour le moment, je souhaite me consacrer uniquement à mes activités au sein de l’IESMP et du CEM.

S.E. : Cela veut-il dire que vous abandonnez la politique ?
E.D. (sourire énigmatique) : Le CEM ne fait-il pas partie du monde politique ? Non, je n’abandonne pas la politique, si c’est la seule chose que vous voulez savoir.

S.E. : Mademoiselle, merci de nous avoir accordé cette interview.
(propos recueillis par Dylan Jorjus)